Monsieur le Directeur Général des Impôts du Gabon reçu en audience par S.E.M.Abdu Razzaq Guy KAMBOGO !
Monsieur Joël OGOUMA, Directeur Général des Impôts du Gabon, et sa délégation , en mission de travail en territoire marocain,ont été reçus , ce lundi 30 novembre 2015 , à la chancellerie du Gabon , à Rabat , par S.E.M.Abdu Razzaq Guy KAMBOGO , Ambassadeur Haut Représentant de la République Gabonaise , près le Royaume du Maroc .
Remerciant le Chef de la Mission Diplomatique du Gabon , au Maroc , pour son engagement constant en faveur du rapprochement entre les deux administrations et se félicitant de voir se concrétiser cette idée de partenariat entre les directions générales des impôts du Maroc et du Gabon, Monsieur Joël OGOUMA aura saisi cette opportunité pour renouveler au Chef de la Mission Diplomatique du Gabon, au Maroc, la volonté de son administration à rechercher des voies et moyens permettant de dynamiser la coopération, dans ce secteur, entre les deux pays .
Le patron des impôts , au Gabon , rappelant que cette volonté découlait , au passage, de l’organisation , il y a quelques mois , à Libreville , des Assises Nationales de la Fiscalité , qui avaient vu une présence des plus honorables et spontanée , de la partie marocaine .
Cette rencontre aura permis de baliser le terrain pour permettre d’avoir des rencontres fructueuses avec les partenaires marocains .
S.E.M.Abdu Razzaq Guy KAMBOGO, n'aura pas manqué de rappeler l’entière disponibilité de la Mission Diplomatique Gabonaise à accompagner , du mieux possible , la Direction Générale des Impôts du Gabon , et l’aider dans le suivi de cette coopération naissante .
Une conviction s’est, en tous les cas, dégagée : la volonté de dynamiser et de diversifier les axes de coopération entre les administrations des impôts du Gabon et du Maroc.
Au mois de Septembre dernier, rencontrant Monsieur le Directeur Général des Impôts du Maroc, le Chef de la Mission Diplomatique Gabonaise avait déjà indiqué à son interlocuteur, la volonté d’intensifier les échanges entre les deux parties et d’ouvrir des brèches qui permettraient aux administrations fiscales des deux pays d’asseoir une véritable coopération .
PRESSE ET COMMUNICATION AHRRGM